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LA LETTRE DES AMIS DE

EXTRAITS

Automne 2004, n°19


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

BARBARA : UNE DAME DE CŒUR
par Pierre AZAMA

Le comédien Pierre Azama fut aussi, à ses heures, critique de spectacles. Pour la revue Air-Champagne, il eut l’occasion de rédiger l’article suivant, après avoir vu Barbara au théâtre de Reims. C’était en 1967 – ou  1968 ?

Son récital ne débute que dans une demi-heure et, pourtant, Barbara est déjà là. Assise devant son piano, sans doute attend-elle depuis bien plus longtemps que le rideau s’ouvre. Je la sens fébrile… Comme j’avais cru le comprendre au cours d’interviews, elle a besoin en ces instants de se recueillir, d’oublier tout ce et presque tous ceux qui l’entourent.
Très souvent, elle se coiffe, laisse ses doigts caresser machinalement le clavier.
Ses accompagnateurs, Michel Gaudry à la contrebasse et Roland Romanelli à l’accordéon, étant en place, elle se glisse en coulisses…
Musique. Applaudissements. Ouverture du rideau. Projecteurs. Et elle apparaît… Tout de noir vêtue, frêle, elle s’installe au piano.
(...)

"Selon sa sensibilité du moment, Barbara interprète ses chansons comme elle les ressent. Chaque soir, c’est un nouveau récital qu’elle donne", m’a-t-il confié.

(...)

Pour tous ceux et celles d’entre vous qui n’ont pas l’occasion d’aller sur le NET ou qui n’ont pu, habitant la province , assister à un colloque ou à une conférence organisés par l’association, pour ceux et celles aussi qui désirent en garder une trace, nous publierons, à chaque fois que possible, les textes susceptibles d’avoir un intérêt par rapport à la connaissance de Barbara et de son œuvre.

 DOCUMENT 1 : UN ESSAI DE CHEMAZZO
Ce texte paru en espagnol sur le NET dès 1998 a été traduit en français, par Marie AVILES

qui depuis est devenue la webmaster du site des "Amis de Barbara".

 "Il y a comme ça dans la vie
De merveilleux passagers
Qui croisent nos existences
Et nous font l'instant de beauté
Où il nous semble que l'on dialogue avec les anges"
Barbara - John Parker Lee (1996)

La dernière fois que je suis allé en France, mi - 1997, Barbara était vivante. Dalida (1933-1986), autre monstre sacré de la chanson française, s'était suicidée 11 ans auparavant. Depuis, le frère de Dalida, producteur de ses derniers disques, avait profané sa voix dans d'innombrables "remixes", lui faisant vendre davantage de disques, morte, qu'en plus de 30 ans de carrière. Comme la pauvre Bernadette, autre mythe national incorrompu par miracle dans sa crypte depuis 1879, Dalida ne finit pas de mourir : l'ère digitale ne le lui permet pas.
(...)
C'était trop tard.
Aujourd'hui que Dalida et Barbara ont la mort en commun, leurs différences se font plus patentes : après une brève étape dans laquelle Barbara dit qu'elle préfère la mort à la vieillesse ("Qu'on ne me voie jamais/Fanée sous ma dentelle", chante-t-elle dans À mourir pour mourir, 1964), elle décide que la mort ne lui compliquera pas la vie - "J'aime mieux vivre en enfer que de mourir en paradis" (Les insomnies, 1978) et subordonne son souci de perfectionnisme à la spontanéité de la "déchirure" parce qu'elle a rencontré dans son public l'amour absolu, le seul pour qui cela vaut la peine de vivre (Ma plus belle histoire d'amour, 1965). Avec lui, elle maintiendra une relation qui survivra à l'évolution de son art et à la mutation de sa voix.

Le public lui portera un amour inconditionnel qui, loin de l'emprisonner, la libérera, lui donnera la permission de continuer à être authentique, fidèle à elle-même, pour maintenir une ligne de conduite et une intégrité artistique qui n'excluent pas, mais qui impliquent la possibilité de prendre des risques et de se tromper : ainsi les années vont révéler les multiples facettes d'une artiste en constante rénovation qui, faisant la sourde oreille au dernier cri (du yéyé au disco), tente des incursions - avec des résultats inégaux - dans la comédie musicale et le cinéma.
(...)
On a autant spéculé sur l'image de Barbara que négligé l'analyse de l'œuvre à laquelle elle a consacré sa vie. Longtemps avant que Barbara ne soit la très populaire interprète de L'Aigle noir (1970) ou l'ermite de Précy (Précy Jardin, 1973) sa légende s'insinuait déjà dans l'interview presque onirique publiée par Jacques Tournier (Barbara ou les parenthèses - Seghers, 1968).
(...)
Dans l'interview accordée à Tournier, Barbara soutient que les paroles des chansons ne sont pas vraiment importantes ("Je mets des mots sur la musique parce qu'il le faut"). Certes, quand le sentiment le demande, Barbara transforme les syllabes en litanie, supplique ou cantilène
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Quand sa voix commence à changer, Barbara ne modifie pas son répertoire, ni ne cesse d'interpréter celui de sa jeunesse. De plus, au lieu de se réfugier dans les studios d'enregistrement, elle rend éternels, disque après disque, les instants magiques de ses concerts. De fait, jamais elle n'enregistrera en studio beaucoup de ses grands succès.
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Écouter les versions originales des premières chansons et ensuite les interprétations de 10, 20 ou 30 ans plus tard est une expérience frissonnante. Dans les différentes versions public de Drouot (1974, 78, 81, 87, 90), la voix de Barbara, qui dans la version studio se contente de raconter - plutôt en hâte - un épisode tragique dans la vie d'une vieille dame (1970), la voix devient de plus en plus lente et grave, jusqu'à ressembler à la plainte de la vieille dame qui raconte l'histoire…
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Même si la mesure préférée de Barbara fut le trois temps, parfois elle s´aventure dans le quatre temps, mesure badine en général et pas toujours réservée aux thèmes heureux
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Barbara dit dans une interview qu'il n'y a rien de plus émouvant que de voir un couple passer, avec le temps, de la passion à la tendresse, "mais", ajoute-t-elle, "lorsqu'on cherche l'absolu...". Pour cela, parce que l'amour qu'elle célèbre est un transport, la musique qui l'accompagne est une valse frénétique, un tourbillon qui empêche de penser (Gare de Lyon, 1964). L'unique bonheur possible est celui de la folie, le bon sens abîme la magie, (La déraison, 1981), la rend domestique.
Du thème de l'impossibilité d'un amour absolu et perdurable à la fois paraît surgir l'insatiable recherche de l'idéal dans l'illusion fugace qu'offre - au client ou à la pute - la prostitution : jusqu'aux années 60, la pute paraît être un personnage "à clef" derrière lequel se cache la femme pour revendiquer dans la chanson la recherche du plaisir comme fin en soi. Rarement, Barbara décrit la pute comme victime (et quand elle le fait, c'est avec des textes appartenant aux autres : La chanson de Margaret, de P. MacOrlan et V. Marceau ou La complainte des filles de joie, de G. Brassens) ; en général il s'agit d'une battante ou d'une libertine sans complexes (J'ai troqué, 1958, Gueule de nuit, 1968, Hop là, 1970).
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Avec la même compassion dont elle parle à (ou de) ses morts et ses amants, Barbara raconte des moments cruciaux de l'histoire de toute une galerie de personnages incompris (Marie Chenevance, coécrite avec J.L. Dabadie, 1965), désespérés (L'amoureuse, 1968), troublés (Joyeux Noël, 1968), décrépits (Drouot, 1970), abandonnés (le petit-fils d'Églantine, 1972) ou quelque peu sinistres... (Monsieur Victor, 1981).
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Dans les années 70 déjà, Barbara commence à composer des chansons dans divers mouvements, avec deux ou trois tonalités et mesures différentes dans la même chanson (L'amoureuse, 1968 est un des prototypes de la nouvelle tendance). De nouveaux arrangements apparaissent, comme
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Si les chansons de Barbara peuvent s'écouter maintes et maintes fois, c'est parce qu'il y a toujours quelque chose de nouveau à découvrir dans son interprétation : la mélodie de Seule (1981) est très simple et l'accompagnement se réduit à l'alternance élémentaire entre un accord mineur et sa dominante. Or, Barbara interprète cette mélodie dans une succession atypique de tonalités (mi mineur, sol mineur, la bémol mineur, fa mineur) qui, par la superposition de textures, donne à la composition l'ineffabilité qui caractérise la bonne musique.
De sa voix affleurent toujours une nouvelle nuance, une ombre ou un trait imperceptibles à la première écoute. Interprète équilibriste, Barbara se balance entre le désespoir et l'ironie. Elle sait créer un climat et tout à coup, en une phrase, sortir de l'angoisse de la chanson et nous lancer un clin d'œil, déformant l'image qu'elle vient de créer, celle que l'on croyait vraie, unique, définitive.
Peut-être cette image définitive n'existe pas, ou peut-être est-ce une fusion de ses deux derniers autoportraits :

(...)
Peut-être Barbara élude ou dément nos images provisoires parce que - sage artiste des amours - elle sait qu'ainsi elle nous maintiendra captifs. Mais peut-être parce que sa voix capture l'instant de la rencontre indicible, nous laisse-t-elle l'entendre vieillir sans pudeur. Aujourd'hui comme hier, Barbara nous réunit près du lac de plus en plus profond de sa voix pour nous émerveiller dans une succession atmosphérique de réverberations.
CHEMAZZO, 1998.

Vous pouvez trouver l'intégralité de l'article ici

RADIO
Frédéric BOTTON : Quatre chansons pour Barbara

Entretiens radiophoniques avec celui qui écrivit La grande Zoa pour Régine, Les Pingouins pour Juliette Gréco, et nombre de succès pour Zizi Jeanmaire, Dani, Joséphine Baker, Betty Mars… et Barbara.
Le 9 juin, jour anniversaire de la naissance de Barbara, Hélène HAZERA recevait, dans son émission Chanson Boum sur France Culture, l’auteur compositeur interprète Frédéric Botton.

Question préambule : La première chanson que vous avez casée ?
Frédéric BOTTON : La première chanson que j’ai eue (de chantée) de ma vie, c’est Barbara. Ça s’appelait Rue du chien qui fume, et elle passait à l’Écluse à l’époque. Je ne sais plus si c’était 1957 ou 58. Et je n’avais pas rendez-vous avec elle, parce que je ne la connaissais pas. J’étais venu proposer cette chanson Rue du chien qui fume à Marc et André, qui étaient des duettistes qui passaient là [Et les co-directeurs du lieu, NDLR]. Je suis tombé sur un des deux, qui m’a dit « Ce n’est pas pour moi, mais il y a une fille qui passe là, qui s’appelle Barbara… » Et j’ai eu rendez-vous avec Barbara à la Boule d’Or, qui est un café place Saint-Michel, qui n’existe plus d’ailleurs. Et elle était déjà… elle faisait très peur ! Elle était tout en noir. On est allés à l’Écluse, je lui ai chanté ma chanson, et huit jours après elle la chantait. Elle ne l’a pas enregistrée, mais Catherine Sauvage me l’a enregistrée.

H.H. : C’est l’époque où elle ne chantait que les chansons des autres ?
F.B. : Mais elle chantait des choses étonnantes ! Elle était…
(...)

F.B. : Mais vous savez, j’ai eu beaucoup de chance avec Barbara, car entre-temps j’ai écrit avec elle trois autres chansons qu’elle a enregistrées, qui étaient

Absinthe : (...)

(...)

Une heure et demie d’entretien au cours duquel Frédéric Botton précisa qu’après ce premier titre, il eut « le temps d’écrire avec Barbara deux chansons, quand je l’ai retrouvée, qui étaient La Saisonneraie et Absinthe : « Ils buvaient de l’absinthe comme on buvait  [sic] de l’eau  mais l’un s’appelait Verlaine, l’autre c’était Rimbaud …».
Où l’on apprit que, sorties en 1972 sur l’album La fleur d’amour, ces deux chansons furent, se souvient Frédéric Botton, « enregistrées bien avant ; puisque je l’ai retrouvée bien avant, Barbara ; et que, je me souviens, je l’avais retrouvée chez Françoise Sagan, à la campagne, et c’est là où l’on avait écrit les chansons ; alors… »

(...)
Texte de Rue du Chien qui fume dans la lettre n°19 des Amis de Barbara

Serge REGGIANI s'en est allé, funambule vacillant, comme il apparaissait sur scène, fragile et révolté. Après le théâtre, où il incarne Franz dans les Sequestrés d'Altona de Jean-Paul Sartre, Ivan Kaliayev, aux côtés de Maria Casarès et Michel Bouquet, dans Les Justes de Camus, le cinéma le sollicite - de l'apache de Casque d'or de Jacques Becker au rôle de l'écrivain empli de doutes et de lassitude dans Vincent, François, Paul et les autres de Claude Sautet - .
Il s'engage dans la chanson alors qu'il atteint la quarantaine. En 1964, Jacques Canetti, directeur du cabaret Les Trois Baudets lui propose d'enregistrer un disque consacré à Boris Vian. Barbara l'entend ; sous le charme de cette voix profonde et passionnée, elle l'invite, tout d'abord dans son spectacle au T.E.P. du 29 décembre 1965 au 1er janvier 1966, puis...
(...)

Souvenirs, souvenirs… 100 ans de chanson française : enfin la Bibliothèque nationale rend justice à cet art « populaire » entre tous qu’est la chanson, par une exposition riche en documents, visuels et audiovisuels. La plupart des artistes y sont représentés, mais les plus grands ne s’y taillent pas forcément la plus large part. Telle Barbara, qui n’y est représentée que par...
(...)
Du 26 mai au 31 décembre 2004. Du mardi au samedi, 10 h à 19 h. Dimanche, 12 h à 19 h.
Site François Mitterrand, petite galerie hall est. Entrée : 3 €. Tarif réduit : 2 €.

François MOREL était le 17 juillet sur France Inter l’invité de Philippe MEYER dans son émission La prochaine fois, je vous le chanterai. Au programme, choisis par le comédien : Juliette, Mouloudji, Thomas Fersen, Robert Lamoureux… Arrive la fin de l’émission. Philippe Meyer : «Vous avez maintenant une minute pour dire tout ce que nous n’entendrons pas et que vous auriez voulu entendre ». François Morel (d’un ton très François Morel) : « Je suis extrêmement déçu de vous, Monsieur Meyer, parce que j’ai pas eu le temps d’entendre Les voyages, de Raymond Lévesque, chanté par Barbara… »

(...)

En attendant la parution, aussi longtemps différée qu’attendue, de l’album Dada consacré à Barbara par les éditions Mango, celles-ci n’avaient pourtant pas oublié notre longue Dame brune : outre que depuis plusieurs années « Le  (sic)  Barbara » était annoncé sur chacun des livres paraissant dans la collection, Chanter pour la paix, un album regroupant des titres comme Le déserteur de Boris Vian ou Inch’Allah d’Adamo, proposait déjà aux enfants (premier public visé par la collection, mais pas le seul) Göttingen, de Barbara.

(...)

Évoquant la règle d’or du spectacle vivant : faire le plus court possible, l’humoriste POPECK confiait à Francesca ISIDORI

(...)

 Gérard DEPARDIEU publie aux éditions Plon, Vivant ! un livre d'entretiens accordés au directeur de la rédaction de l'hebdomadaire Marianne Laurent NEUMANN. Un ouvrage passionnant pour un parcours d'exception, tissé d'anecdotes où l'humour vient teinter la désespérance. De sa jeunesse tumultueuse aux rôles marquants de sa carrière au cinéma, une confession souvent très intime qui ne peut laisser indifférent évoquant tour à tour ses amitiés, ses convictions, ses contradictions : 56 années d'une vie multiple et passionnée où Barbara fut une de ses plus belles rencontres : "Un respect commun, un amour total fondé sur la connaissance de l'autre, une envie artistique partagée et une complicité merveilleuse (…) Je crois pouvoir le dire aujourd'hui : "Ma plus belle histoire d'amour" c'est elle… J'ai rarement vu une femme aussi courageuse, aussi travailleuse. Un pur esprit".

Du Soleil noir au Soleil d’or
D. B.

Le DVD arrive enfin sur le lecteur – tout neuf – vierge de tout souvenir… Tout de suite, les inédits, vite je zappe, les visages se succèdent – arrêts sur image – images d’un autre temps, d’une autre vie, celle où je n’étais pas née. Vite, Vite, 1967, 1968 on approche, ma Barbara à moi est là ! Triomphante sur la scène d’un Olympia comble. Souveraine et lointaine - j’étais perchée sur les plus hautes marches du balcon - mais si proche déjà. Le Soleil noir est mon premier tremblement de terre. La Solitude, le Mal de vivre et Nantes se font alors hautes murailles pour me protéger et mes blessures se referment comme par enchantement.
(...)
A Mogador elle nous dira :

 " Sois soleil
 Tiens
 Sois soleil
 Je suis brume
 On sera bien ensemble
 Nos rires sont les mêmes
 Tu pleures mes chagrins
 Et j’ai mal des tiens
 C’est bien"

Voilà, c’est ça, on était bien ensemble…

(...)

Chut ! Au plus profond de moi, mon petit Soleil dort.

Bonjour Tristesse. Françoise SAGAN est morte. Elle était avec Barbara, Gréco et les cinéastes de la Nouvelle Vague l'une des figures mythiques des années 50-60 et n'a cessé, fragile et drôle, de rayonner au fil des décennies : (...)

Sur www.dvdtoile.com, vous pouvez signer une pétition pour que Franz, le film de et avec Brel où Barbara joue le rôle principal sorte en DVD. Signalons également sur ce site, une fiche assez détaillée sur l’ensemble des films interprétés par Barbara.

Si vous avez un rendez-vous à donner à Paris, une bonne adresse Le 10, au 10 rue de l’Odéon (VIe ardt.). Vieux bar au cœur du quartier latin aux murs couverts de vieilles affiches de théâtres, des petites tables en bois, une lumière tamisée, de confortables banquettes en moleskine mais surtout un juke-box. Glissez 1 € et frémissez avec la voix merveilleuse de Barbara aux premières notes de l’Amoureuse. Nostalgie.

(...)

Mylène Farmer, nouvel album. Une partie composée de duos et une partie où Mylène interprète ses titres, dont la reprise de L’Aigle Noir de Barbara.

Véronique Sanson déclarait dans L'Express du 3/09/2004 :  « Barbara aimait beaucoup Ma révérence. Je lui téléphonais parfois très tard le soir et on se chantait nos chansons. Je lui confiais ma peur de radoter, mais elle s'esclaffait: ''Qu'est-ce que tu crois que j'ai fait toutes ces années, ma grande ? Allez ! Radotons, radotons...»

Avec son premier album Ever Everest, Fabien Martin s’inscrit dans la tradition de la chanson française. Ne rend-il pas d’ailleurs hommage aux grands d’hier et de toujours ? Ainsi trouve-t-on un petit coup de chapeau à Yves Montand. Mais surtout une belle déclaration d’amour posthume à la grande Barbara qui donne son nom à la chanson (...)

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